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Bonjour !

Qui suis-je ? 

Je m’appelle Cindy C. Teston, auteure de l’imaginaire pour vous servir ! 

Non, mais plus sérieusement, qu’aimeriez-vous savoir ? 

Ma vie est plutôt simple, je suis née en Belgique en mars 1984. Je vis en région Liégeoise et j’ai la chance d’être mariée à l’homme le plus génial de toute la Terre entière. En plus, il m’a donné trois merveilleux garçons, alors que demander de plus ? 

Dans la vie, j’ai deux passions dévorantes : L’écriture et les voyages. Je suis quelqu’un de casanier qui n’aime pas du tout sortir, sauf quand il s’agit d’aller globe-trotter alors là, c’est une autre histoire !

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Depuis quand est-ce que j’écris ?

Depuis toujours, je crois. Quand j’étais petite, j’adorais taper mes histoires sur la vieille machine à écrire de mon père, dans le grenier. Je pouvais y passer des heures. Plus tard, à l’adolescence j’ai commencé à écrire des poèmes et des nouvelles, sans jamais aller jusqu’au bout. 

C’est en 2012 que l’envie d’écrire est devenue dévorante. J’étais en formation pour le boulot, je m’ennuyais ferme, alors j’ai commencé à griffonner un dragon sur mon syllabus. De ce dessin a jailli une histoire qui ne m’a plus quitté depuis. Alors, j’ai commencé à construire ma trame, puis à écrire l’histoire et cette fois, je suis allée au bout de mon premier jet ! 

Super… Oui, mais non. Les retours étaient catastrophiques ! J’en ai versé des larmes… mais je n’ai pas abandonné pour autant, loin de là. J’ai continué à écrire et à me former pendant des années pour en arriver là où j’en suis. 

Mon histoire a-t-elle été publiée ?

Hahaha. Non. Même pas. J’ai travaillé dessus pendant longtemps, très longtemps. Pendant plusieurs années en fait. Au bout d’un moment j’en ai eu marre et j’ai lâché l’affaire. Il fallait que je me concentre sur un autre projet. Que je me change les esprits. Alors, j’ai écrit l’Éveil du Phénix. Une romance fantastique qui a été publiée en 2020 aux Éditions de la Caravelle.

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Et mon premier projet alors ?

Eh bien une première partie a déjà été publiée en 2021, les autres devraient paraître cette année, et l’année prochaine également.

En toute franchise, je n’ai jamais abandonné ce projet. Il me tenait beaucoup trop à cœur. J’avais seulement besoin d’une pause alors, j’ai pris le temps de le laisser murir. D’un simple one-shot, ce projet est devenu le plus important de toute ma bibliographie. Les Chroniques des Terres du Vallère sont composées de deux arcs. Le premier arc se compose de trois romans indépendants. Le second d’une suite en quatre tomes. 

Pourquoi « Kiraya » si je m’appelles Cindy ? 

En fait, au départ, Kiraya c’était simplement mon pseudo sur les Réseaux Sociaux. Pour l’obtenir j’ai pris les deux premières lettres du prénom de mes enfants ce qui donnait dans l’ordre du plus âgé au plus jeune YA – RA – KI mais comme ce n’est pas super joli aux oreilles, j’ai choisi de le mettre à l’envers KI – RA – YA. 

Plus tard, j’ai choisi d’en faire ma marque de fabrique, en hommage à mes garçons. 

Et si je vous présentais ma bibliographie ?

Dans l’ordre chronologique de publication, voici les livres que j’ai écrits :

Novembre 2020 : Vies de Chats (micronouvelle) aux éditions de la Caravelle.

Novembre 2020 : L’éveil du phénix (romance fantastique) aux éditions de la Caravelle.

Octobre 2021 : Le Sacre

Mars 2022 : L’éveil du Phénix en AE

Mai 2022 : Gardienne d’élite en AE

Octobre 2022 : Les Descendantes de Séraphine, partie 1 en AE

Octobre 2022 : Les Descendantes de Séraphine, partie 2 en AE

Septembre 2023 : Le Serment des Liés (LDDS, partie 3)

Octobre 2023 : L'intégrale des Descendantes de Séraphine

Pourquoi j’ai choisi l’AE ? Est-ce vraiment par choix ?

Au départ, c’est vrai que je tenais énormément au fameux « Oui » qu’offrent les maisons d’édition. Si précieux, si rare, si difficile à obtenir. J’avais besoin de me sentir légitimé par rapport au fait que je pouvais écrire. 

La suite de l’aventure ne m’a pas convaincue. Il y a énormément de contraintes lorsqu’on signe un contrat d’édition. D’abord on nous impose des corrections (parfois c’est cool, parfois beaucoup moins), on a un droit de regard sur la couverture, mais après qu’on aime ou pas ce n’est pas toujours nous qui décidons. De plus les plannings sont souvent chargés et du coup, il faut attendre plusieurs mois, voire des années pour voir le livre sortir. Mais le pire c’est de ne rien savoir au niveau des ventes. Attendre trois mois, six mois, parfois un an pour savoir combien de livres on a vendus, savoir si on a du succès ou pas, c’est une véritable torture. Et pour finir il y a ces fameux D.A. Autrement dit, les droits d’auteurs qui souvent ne dépasse pas 8 % ! Faites votre calcul… À l’époque où il était édité en maison d’édition, l’éveil du phénix coûtait 18 €. Eh bien 8 % de 18 € ça donne 1,44 €  par livre vendu. 

L’auto-édition est une alternative plus compliquée, certes, mais au moins on choisi le graphiste avec qui on veut travailler, les corrections qu’on souhaite appliquer, on voit en temps réel (ou presque) ce qu’on a vendu. Alors bien sûr, on doit s’investir beaucoup plus en termes de temps et d’argent, parce que s’auto édité, ça coûte de l’argent quand on veut faire les choses correctement, mais on moins on a exactement ce qu’on veut. Sans parler des D.A. qui sont beaucoup plus attractifs. 

Alors oui, si j’ai choisi de publier mes propres livres sans passer par une maison d’édition, c’est clairement par choix. C’est le mode d’édition qui me correspond.

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